Bowie fait son cinéma
1. Furyo, Nagisa Ōshima (1983)
Parce qu’il y joue un rebelle incroyablement séduisant qui défie l’autorité tyrannique et triomphe par l’amour. (LE film incontournable de Bowie, dont la version restaurée est sortie en mars de l’année dernière).
2. The man who fell to earth, Nicolas Roeg (1976)
Parce que Bowie en extraterrestre c’est une évidence. Et que dans le même temps ça nous rappelle que dans la vrai vie il est humain, et que ça fait du bien de se dire qu’on est de la même espèce.
3. The Hunger, Tony Scott (1983)
Parce que plus beau couple de l’histoire du monde (si, si du monde).
4. The Labyrinth, Jim Henson (1986)
Parce que Bowie, en plus d’être un artiste accompli, est un monstre d’autodérision.
5. Twin Peaks, Fire walk with me, David Lynch (1992)
Parce que l’univers de Twin Peaks lui sied à ravir. Aussi bien que sa décolo.
6. Zoolander, Ben Stiller (2001)
Est-il vraiment nécessaire d’expliquer pourquoi ?
7. The Snowman, Diane Jackson (1982)
Parce que jamais conte ne saurait trouver meilleur conteur que Bowie himself, qui vient incarner le petit garçon qui a grandit trop vite. Emmitouflé dans une écharpe kitch à souhait, il se souvient pour nous de son ami d’une nuit. (Et parce que sa décolo le rend toujours aussi beau). Ps : avancez à 29sc
8. The Prestige, Christopher Nolan (2006)
Parce qu’un Bowie moustachu qui disserte philo et obsession avec un regard grave, ça n’a pas de prix.
Bonus : The Breakfast club, John Hugues (1985)
Enfin n’oublions pas que The Breakfast Club s’ouvre sur une citation de Changes. Bowie qui encore une fois vient à la rescousse des adolescents en pleine acceptation de leurs différences.
Dear David, tu resteras notre obsession à nous. Sincerely yours, Cinépsis.
Si vous voulez voir notre top 5 musical de David Bowie, c’est par ici.
Anaïs Levieil, Charlotte Renaudat Ravel, Cannelle Favier
