Du sang, des larmes, des explosions et des chauves tout costaud. Voilà ce que à quoi nous devons nous attendre en ce mercredi 1 avril.
Et ce n’est pas une blague, ni un nouveau remake d’Universal Soldiers, c’est la sortie du nouveau Fast And Furious 7. Le tout dernier selon Vin Diesel, le suivant d’une longue série pour certains.
À La Cam on a vu que la bande annonce, et on peut vous dire que ça va chauffer grave. Des cascades façon Gerard Pires (Taxi 2 et son fameux taxi-parachute), des textes à la Audiard (Vin Diesel: « Ce qui compte le plus, ce sont ceux qui sont là, ici et maintenant », ils ont du passer une bonne heure pour la trouver celle là) une histoire de vengeance digne de Taken ( Le grand frère va venir venger le petit frère, mais attention vu que c’est le grand frère, il est bien plus méchant : Obvious! )
En résumé, un film que nous allons regarder quand même au cinéma, par respect pour les voitures qui ont été utilisées dans ce film, ainsi que pour admirer Dwayne Johnson à la sulfateuse ( 2:07 min de la B.A – amazing).
Une série qui semble de plus en plus WTF, mais qui respecte les codes les plus sacrés des blockbusters américains : le spectacle avant l’histoire. Donc rien de tel pour s’exercer en sémiologie que d’aller observer ce film et faire un bon rapport. Fast And Furious où comment le mythe de la DS rivalise avec celui du catch et du steak frite ?
Rendez vous ce soir au cinéma.
Bruno Zobec aka Han Solo