1990. Jean-Pierre Jeunet. Dominique Pinon, acteur, chouchou du réalisateur, nous offre ses meilleurs grimaces. L’idée de ce court-métrage sera reprise au début d’Amélie Poulain. Plus rapidement.
On reconnaît de suite, et on apprécie, la patte de l’artiste.
Un amusant jeu de “J’aime”, “J’aime pas”, nous ramenant tout droit à l’enfance.
En tous les cas, nous, ce court-métrage, on l’aime.
– CL